Les ans foirés
Faux cul, vrai con
Faux nems, vraies chinoiseries
J’en jauni à l’idée
Idées aux grammes, les ans foirés
Les jours d’amour, quand je suce
Ton con comme un bonbon
Vrai cul, qui vit sous mes caresses
En dentelles si douces
Je m’émeu de tes cris
Tes écrits, qui glissent si doux
Mes mains qui cherchent sous le tissu
De tes dessous qui les appellent
Les pelles que tu me roules
Aspirant le bonheur
Guérissant les ans foirés